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Il n'y a pas longtemps, ma vie chrétienne était comme j'avais les bandelettes d'un momie autour de moi - rescussitée de la mort (comme Lazare) mais pas en libérée. Je ne pouvais rien faire pour m'en débarrasser.

Mais Dieu est en train de le faire.

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lundi 25 octobre 2010

Avec une amie - ça fait du bien!

Aujourd'hui je me suis assise avec une ancienne amie pour prendre du lunch et pour nous rattrapper, chacune des nouvelles de l'autre.

C'était si bon de la revoir, de partager quelques des choses que Dieu faites dans nos vies, d'entendre d'elle que Lui agit aussi dans sa vie autant que dans la mienne. De discuter de nos soucis, de partager nos joies et nos épreuves. Un plaisir simple juste de prendre du temps en parlant avec une amie. De nous souvenir de bonnes réminiscences vécues ensemble.

Et qui sait combien de bon cette conversation ait fait? pour elle - ou pour moi?

samedi 23 octobre 2010

...jusqu'à ce que ...

Je remerciais Dieu de mon salut - de la joie d'avoir un âme pur devant Lui, ...jusqu'à ce que ceci est devenu le nouveau normal.
Et j'avais quotidiennement de la gratitude pour les miracles que Dieu a accomplis dans ma vie, ...jusqu'à ce que je m'en suis habituées.

Je louais l'Éternel de ma famille, jusqu'à ce cette dernière est devenue source d'angoisse et d'inquiétude, et que j'en ai perdu beaucoup de sommeil.
J'étais reconnaissante à Dieu pour mon emploi - jusqu'à ce que j'en ai eu besoin pour payer les factures mensuelles et que la nécessité d'avoir de l'argent en a poussé la joie.

J'étais tellement contente de la liberté que je vis juste parce que j'habite au Canada et que ce pays permet la liberté d'adorer Dieu et d'avoir une opinion et de l'exprimer sans peur de persécution - jusqu'à ce que quelqu'un m'a dit que c'était mon droit.

Où est-elle allée, ma gratitude?
Je ne sais pas exactement, mais peut-être que j'étais si occupée de gagner ma vie que j'ai oublié d'avoir une vie. Peut-être que je faisais tout pour les autres et rien pour moi, pour ma santé spirituelle, physique et émotionnelle. Peut-être que je concentrais sur les problèmes et non sur les bienfaits, sur les contres et pas sur les pours, sur le négatif et non sur le positif.

Il se peut que j'aie oublié le premier leçon que j'ai jamais appris sur mon cheminage de guérison - il faut d'abord prendre soin de moi, prendre du temps pour moi-même. Respirer, regarder autour de moi d'un regard neuf, lever mes yeux aux cieux et me rappeler de tout ce que j'ai. Pas seulement faire l'essentiel puis tomber au lit le soir, complètement épuisée, mais faire ce que moi je le veux, que ce soit lire, écrire, prendre une marche, ou même me brosser les dents!! Et même plus que ça, que je passe du temps quotidiennement avec l'Amant de mon âme, mon Sauveur et le Roi de ma vie : Jésus.

jeudi 21 octobre 2010

Une touche tendre

La première fois que j'ai touché Cody, c'était pour lui donner du reconfort alors qu'il était dans une place qui pour lui était effrayante : la SPA (société protectrice des animaux). Là, entouré de chiens qui jappaient à n'importe quoi, il avait si peur - et j'ai mis ma main dans sa cage et carressé son visage. Presqu'immédiatement j'ai entendu son ronron presque sousentendu, comme une moteur ayant des ratés.

Dans le temps il avait 4 ans; c'était l'an 1998. Il est devenu membre de notre famille rapidement. Et il n'a jamais oublié que c'était moi qui l'ai sauvé de "La place horrible-là" (comme lui dirait s'il pouvait parler).

Et, à l'âge de 16 ans, la dernière touche que Cody a connue était la mienne. Avant-hier, chez la vétérinaire. J'ai signé les papiers, et la vétérinaire lui a donné un fort sedatif afin qu'il ne se sente pas la vraie piqûre. Pendant que le sédatif prenait effet, je serrais Cody entre mes bras et lui parlait doucement. Il n'avait même pas le temps de ronroner ... il a perdu connaissance dans trois minutes. Je l'ai placé doucement sur une serviette que nous y avions apportée. Je le carressais pendant quelques minutes et quand la vétérinaire est revenue, j'avais déjà dit mes adieux à mon p'tit fluff-ball. Mon mari y est resté pour l'euthanasie-même; je ne voulais pas regarder "l'acte". Il m'a dit plus tard que l'on traitait Cody avec du respect et de la compassion.

Cody était devenu malade (ou au moins ne se sentait pas bien) - des derniers mois il commençait à boire de plus en plus - à la fin c'était au moins 5 tasses par jour. Il était de plus en plus irritable et exigeant. Il faisait son business (c'est-à-dire, il urinait) dans sa boite mais lorsqu'il était plutôt grognait, il le faisait aussi dans le linge, sur un lit, sur les tapis. Il nous suivait en miaulant.

À la salle d'examen avant-hier (après mon départ), la vétérinaire a noté que les veines de notre Cody ont presque écroulé de déshydratation. Étant donné qu'il buvait tant d'eau, elle a dit à mon mari que seulement une chose pourrait expliquer cela - le cancer, probablement des reins. Quand mon mari m'a dit cela, soudainement la solution au mystère m'est venue... quand il miaulait en me suivant, il me disait en réalité, "Maman, que tu fasses que ça cesse..."

Maintenant sa douleur a cessé. Je peux imaginer parfois Cody sur les genoux du Maître, et je pense que je puisse entendre son ronron.

La décision de faire euthaniser Cody n'était pas du tout facile à prendre; je l'admets, je suis en deuil, et je revis souvent le moment quand il a perdu conscience entre mes bras... au point où ça me réveille la nuit. Je me sens coupable. Je ne peux pas m'en empêcher.

Dans ma tête je sais que j'ai fait la bonne chose. Mais mon cœur ... ça prendra du temps pour guérir.

samedi 16 octobre 2010

C'est quoi qui manque ?


Est-ce que ce casse-tête manque un morceau? Il semble manquer quelque chose ....

Et si je vous disais qu'il n'en manquait pas, que diriez-vous? Surtout si je vous disais que le morceau qui semble être disparu est la seule chose qui est correcte ?

Je pense des choses les plus curieuses parfois. Comme ceci. Les autres morceaux du casse-tête cachent quelque chose de merveilleux en-dessous. On peut voir qu'il y a une source brillante de lumière en dessous, qui procède de la seule place où il n'y a aucun morceau de casse-tête... un indice puissant d'un secret glorieux et très simple - si simple qu'un enfant pourrait le comprendre. Les rangs de morceaux, si réguliers, si ordonnés, s'agissent d'une façade pour cacher la réalité - qu'il ne fallait pas avoir de casse-tête en premier lieu.

Nous - comme êtres humains - avons la tendence de compliquer les choses pour pouvoir croire que nous sommes plus importants que nous le sommes. Mais le point focal de notre existence est que nous sommes esprit. Créés dans l'image du Créateur de l'Univers - car Lui est Esprit - mais nous sommes si reduits à l'esclavage aux choses corporelles : aux choses que nous pouvons voir, sentir, goûter, entendre - que nous essayons de couvrir notre esprit avec d'autres choses plus prévisibles. Les rituels, le forme, les règlements, les causes sociales, les platitudes, ... en autre mots, la réligion!! Et de cela, quelque chose arrive que nous ne prévoyons pas - la liberté qu'Il a voulue pour nous est transformée en quelque chose régimentée, inutile, et inanimée.

La bonne nouvelle est qu'il y existe toujours un "morceau manquant de ce casse-tête." Ou bien un trou là-dedans. La solution s'agit de trouver ce trou - quoi qu'il en soit pour chacun de nous - et d'y creuser pour voir ce qui est en dessous. Là nous pourrions retrouver la liberté que nous cherchions. Nous pourrions même trouver Celui que nous cherchions.

Sommes-nous assez ardents, assez courageux, de prendre le risque ? Osons-nous Lui demander de nous montrer Qui et où Il est, Sa vraie nature? de Se nous révéler et de nous dire ce qu'Il Se sent envers nous - en dépit de nos notions préconçues ?

lundi 11 octobre 2010

Joyeuse Action de Grâce


Une fois par année l'on fait un effort spécial de réfléchir sur ce que Dieu nous a donné. Et nous Le remercions.

De plus en plus je me rends compte qu'une fois par année n'est pas assez. Plus souvent j'assume une attitude de gratitude, plus je suis heureuse! Dieu a tant fait pour moi - comment pourrais-je m'empêcher de Lui donner des louanges quotidiennement - ou même plus souvent que ça ? Et quand je lis Sa Parole, (surtout les Psaumes) je trouve beaucoup d'encouragement de louer l'Éternel en tout temps - le matin, le midi et le soir de Lui lever ma voix en adoration, de me souvenir de tout ce qu'Il a accompli pour moi, de cultiver une attitude de gratitude. C'est correct de Lui dire ce que je me sens - quoi que soit l'émotion que je vis - mais c'est aussi correct de chercher le bon dans tout ce qui se passe et de Le remercier de tout ce qu'Il m'enseigne, même si ce soit difficile. Et je prends le leçon qu'a appris le roi David, que lorsque les choses ne vont pas bien, il faut se souvenir des choses que Dieu a faites dans le passé afin d'en renouveller la foi, l'espoir, et la joie.

Dieu m'a donné beaucoup de choses, dont la plus importante est Son salut !! Puis la liberté de L'adorer sans peur. En plus, de multiples bénédictions m'inondent... Un mari qui ne boit plus depuis plus de 18 mois et que Dieu m'a redonné après des années quand je me manquais de lui. Des enfants qui maturent petit à petit et qui apprennent ce qu'il faut pour vivre indépendamment de nous (un jour). Et dans ma vie, une guérison miraculeuse de l'esprit de toutes les blessures internes subies au passé et Son pouvoir divin de pardonner tout ceux qui m'ont fait du mal. Y a d'autres choses aussi - ma job, cette maison, le rhythme tranquille de vie de la province dans laquelle j'habite, et beaucoup d'autres petites choses qui m'arrivent quotidiennement. Dans ces choses, Dieu crie Son amour pour moi si seulement je puisse l'entendre.

Je veux que mon attitude soit en tout temps, comme celle d'une jeune femme que j'ai entendue dire un jour - de son cœur, "Oh, merci, merci, merci..."