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Il n'y a pas longtemps, ma vie chrétienne était comme j'avais les bandelettes d'un momie autour de moi - rescussitée de la mort (comme Lazare) mais pas en libérée. Je ne pouvais rien faire pour m'en débarrasser.

Mais Dieu est en train de le faire.

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jeudi 29 décembre 2011

Au revoir 2011 - salut 2012

Bientôt, le rideau sera tombé sur 2011 et l'aurore d'un nouvel an arrivera.  Il est difficile à croire combien de choses sont arrivées pendant les derniers 12 mois.  Je viens de lire mon article que j'ai écrit le 1er janvier 2011 et ... je peux vous dire, la vie est en tout temps intéressante !

En janvier, on a fait une résonance de mon épaule droite - et j'ai vu mon orthopédiste en fin de mars.  Il m'a dit que je n'avais pas besoin d'une chirurgie et que si j'avais de problèmes ultérieurs, je pourrais le lui dire et il me donnerait une infiltration de cortisone.  Quel soulagement de ne pas avoir besoin de subir une autre chirurgie!  

En mars aussi, mon mari a fêté deux ans de sobriété.  C'est une célébration véritable - il vit un jour à la fois mais parfois, les jours comme celui-là nous rappelle de la grace et bonté de Dieu.  

Cette année c'était l'année de la douleur lombaire.  Premièrement mon affection lombaire (maladie discale lombaire) a eu une exacerbation en avril / mai et je suis allée au chiro pendant quelques semaines.  Puis mon mari a aussi subi de la sciatalgie en été et lui est allé à la physiothérapie.  Il l'a trouvé utile... alors quand je me suis blessée le bas du dos au travail en octobre, je suis allée au médecin pour une référence à la même compagnie de physiothérapie que lui.  Je viens actuellement de recevoir l'approbation pour une prolongation de 4 semaines de traitements pour un total de 12 sessions en janvier.  Mais je digresse.

En mai nous avons débuté un groupe de DAA - dépendants affectifs anonymes - le premier groupe de DAA à l'Île !!  Dieu agit dans notre groupe et nous jouissons de bonnes amitiés avec d'autres personnes en voie de guérison.  Il nous bénit profondément.

L'image vient de la source suivante :
http://www.d-clics-disa.com/categorie-
10701161.html
L'été a passé vite vite!  Nous avons pu profiter de mes vacances d'été en restant ici à notre belle Île - nous avons 'joué le touriste' de temps en temps.


En septembre et octobre, notre cadette et son boyfriend ont réussi à leurs examens pour obtenir leurs permis de conduire. En octobre aussi, notre aînée a eu sa graduation de son collège, quoiqu'elle n'ait pas encore fini ses classes.  En novembre elle les a finies, et elle a commencé une période de formation sur le tas chez la Fondation des maladies du coeur.  Après y avoir fait ses 80 heures on lui a offert un emploi à temps partiel en tant qu'adjointe exécutive, et elle l'a accepté! 

Et finalement nous avons passé de belles fêtes de Noël, et nous attendons à ce que la nouvelle année soit aussi remplie de bonnes choses que la dernière. 

Et je souhaite la même chose pour vous.  Puisse la bonté et la grâce de Dieu vous inonder tout au long de l'an 2012 et que vous soyez en tout temps conscients de Sa présence avec vous.

dimanche 25 décembre 2011

Un nouveau départ

C'est aujourd'hui Noël.  Notre petit coin du monde a une nouvelle couverture de neige et lorsque le soleil brille, la neige semble couverte de diamants.  C'est un vrail trésor, des moments fantastiques passés avec ma petite famille au salon.  

Le scène au salon est tranquille.  Tout le monde est assis, chacun devant son ordinateur portatif.  L'un de nous a reçu le sien aujourd'hui - avant, il devait utiliser un ancien ordi (non-portatif) qui était branché au sous-sol.  Et maintenant nous sommes tous "en famille" - ça fait du bien!  

Et je crois que ceci est presque le meilleur Noël que j'aie jamais vécu!! Pas à cause des cadeaux - même si ceux-là étaient bons - mais à cause de l'esprit de Noël qui - comme le dit la vieille chanson - déscendit jusqu'à nous.  

Il a commencé il y a deux mois.  J'étais sur facebook un soir, et tout-à-coup, j'ai vu une nouvelle qui m'a beaucoup intéressée : notre comique préféré, qui était à notre ville l'hiver passé, allait revenir le 4 février... la dernière fois qu'il était ici, nous avons acheté des billets pour toute la famille, mais notre cadète ne pouvait pas y aller, elle dormait et nous n'avons pas pu la réveiller, ... nous avons tant essayé~~!!  Alors nous sommes y allés sans elle - et elle en était tellement décue.  

Donc, quand j'ai vu que cet homme allait revenir, j'ai dit à mon mari que ce serait une très bonne idée pour un cadeau de Noël pour notre fille !  Il était d'accord et nous avons commandé cinq billets pour de bonnes sièges.  Et nous avons sauve-gardé ce cadeau pour la fin de l'ouverture des cadeaux ce matin.  

Et regardez....

Voici sa réaction - juste avant qu'elle se soit rendue compte qu'elle pourrait être avec la famille pour jouir de la performance ... de John Pinette ! (ça c'est un lien à une brève portion de l'une de ses performances) et qu'elle ait fondu en larmes de joie qu'on lui ait pensé ...

Quelle belle photo, n'est-ce pas?? 

Cette année avait beaucoup de plus et de moins.  Quand j'y pense, tout est un mélange d'émotions... y avait des jours difficiles, frustrants, et fantastiques.  Notre aînée a fini ses études au collège, et elle a débuté son premier emploi et reçu son premier chèque de paie... une vraie célébration comme - il n'y a pas longtemps -  elle pensait qu'elle n'allait jamais avoir une vie normale dû à ses problèmes de santé.  Mais Dieu a fait un miracle dans sa vie et elle ne souffre presque plus de ses migraines débilitantes ni de la vertige qui les accompagnaient.  Et puis elle a pu obtenir son diplôme de 12e année et ensuite aller au collège - et non seulement cela, mais elle a reçu le prix pour être la première de la classe dans le programme de spécialiste en administration éxecutive.  C'est un nouveau départ pour elle.  

Mon mari commence à reprendre sa force après plus de deux ans et demi de rétablissement en sobriété.  Il vient de commencer à apprendre de nouveaux logiciels et il se prépare alors pour rentrer éventuellement le marché de travail.  La pente de rétablissement était lente et il fallait attendre plus longtemps que nous ne pensions, mais finalement son cerveau commence de nouveau à fonctionner.  La dépendance à l'alcool avait tant détruit dans sa vie - et dans les notres par résultat.  Mais maintenant nous jouissons de sa présence - sa pleine présence - avec nous.  Il commence à apprendre comment subir ses émotions sans l'aide toxique de l'alcool, et dans un certain sens il est tout comme un nouveau-né : c'est beau de le voir apprendre ces choses dont plusieurs pour la première fois.  Quel miracle! et un nouveau départ pour lui aussi.

Pour moi, il y avait des bonjours et des adieux - des nouveaux développements au travail (y compris des pours et des contres), des changements au niveau de ma famille de naissance et de mon entourage, et des changements d'attitude et de motivation, et je parle en profondeur de toutes ces choses à ces pages-ci et à d'autres.  Comme le nouvel an approche, je me sens comme si ma motivation se renouvelle aussi - d'expérimenter même plus de bons changements (et le maintien des changements déjà faits) dans mon être entier, dans tous les domaines, et je pense que j'en suis prête.

Pour moi aussi c'est un nouveau départ qui vient.  Alors, comme on dit, 'allons-y'!!

dimanche 18 décembre 2011

La vie en famille - ou en rose?

Avant-hier soir, j'ai téléphoné à ma mère.  

Pour moi, elle est une femme très difficile - tandis que d'autres (qui n'ont jamais eu à habiter avec elle) pensent qu'elle devrait être canonisée, il me semble parfois. 

Je lui téléphone afin qu'elle ne dise pas que je ne l'appelle guerre, même si elle ne se rappelle pas de ce qu'elle a dit il y a 10 minutes.  Ça me donne de la misère de l'écouter parce qu'elle trouve toute manière de critiquer celle-ci et celui-là autour d'elle (même mon frère qui demeure avec elle autant que possible - ce qui fait que je me demande ce qu'elle dit de moi ... dans mon dos), qu'elle se plaint de tout ce qui lui arrive - et qu'elle fait que tous ses enfants se sentent honteux et coupables.  Même quand elle nous donne des choses, sa générosité est en tout temps munie de conditions et / ou de coupabilité  (exemple : hein, je t'ai donné ceci même si j'aurais pu utiliser l'argent...)  Le résultat de tout ceci est qu'elle pousse ses proches loin d'elle et qu'elle acceuille ceux et celles qui veulent exploiter sa "générosité" frustrée (car nous ses enfants ne voulons pas recevoir ses cadeaux conditionnels) - c'est tellement plat pour elle ... et pour nous.  Incidemment, je ne peux pas regarder l'émission 'Everybody Loves Raymond' (Tout le monde aime Raymond) parce que la mère de Raymond me rappelle tant de ma mère que ça me rend fâchée.  Euh, je digresse.  Ça suffit pour moi d'écouter ma mère en critiquant tout le monde (y inclus moi) une fois aux deux semaines.

Mais je lui téléphone quand même.  Bien qu'elle me dise la même chose, raconte la même histoire trois fois dans 30 minutes avant de raccrocher, sans oublier de me rappeller - chaque fois - de tenir en contact avec elle.  (- Et qu'est-ce que je viens juste de faire? - je pense.) 

Source (par Images Google) :
http://www.oocities.org/thesunflowergirls2002/
bradyappearances.html
Quand j'étais un enfant, j'avais un image d'une famille parfaite dans ma tête et celui-ci a remplacé l'image réel de ma famille parce que je ne pouvais point faire face à la vérité dans le temps.  (J'étais dans le déni : j'suis chanceuse, mes parents sont des chrétiens, ils me gardent à la bonne voie ... c'est ça que je me disais. )

Mais les faits étaient moins agréables. Je ne vivais pas dans la famille Brady, où tout s'agissait de la douceur et où tout le monde était respectueux et s'entendait dans un demi-heure.  En réalité, j'étais abusée, ignorée - et pire que ça, dépendant de qui agissait contre moi. Tandis qu'une famille devrait être un abri - la mienne n'était pas du tout sécuritaire pour moi.  Je ne savais jamais quand je serais punie (lisons "battue") pour les moindres erreurs, et la seule chose que je savais c'était que je n'aurais jamais d'aide des autres membres de la famille - c'était normal, on ne savait pas qu'il y avait d'autre chose et on ne voulait pas être le prochain objet de ridicule ou de critique - ou bien la prochaine cible de "la ceinture crainte" en cuir.  Même à l'école - quand un brute voulait me battre ou me harceler, ma mère ne faisait rien pour me protéger. "Lutte tes battailles toi-même - moi je ne m'implique pas dans tes affaires..."  C'était comme ça.  J'ai appris comment changer comme un caméléon, dépendant de la situation que je vivais - et de la personne avec qui j'étais. Je disparaissais autant que possible.

Je ne veux pas dire que tout était mal.  Il y avait des bons moments.  Mais ça prend mille compliments pour effacer une insulte.  Ça prend beaucoup moins de temps pour détruire que pour bâtir - et elle me détruisait quotidiennement.  Mes frères pouvaient s'en échapper mieux que moi parce que j'étais la fille et la plus jeune.  Elle me disait souvent, "Un fils est un fils jusqu'à ce qu'il se marie, mais une fille est une fille pour le reste de sa vie."  Quelle peine à prononcer sur une jeune fille !!  


Des décennies plus tard, après avoir quitté le foyer familial et vécu avec mon mari pendant plus de 25 ans, j'ai commencé à guérir.  Le processus était lent, une fois débuté. Il y avait beaucoup de larmes. Beaucoup d'émotions difficiles à supporter.  Et tout cela dans le but de guérir.

J'ai finalement pu pardonner Maman pour toutes ses offenses contre moi après  m'être débarrassée du bagage du passé et m'être rendue compte d'une chose très importante.  Lorsqu'elle a volé de moi tout respect de soi, toute estime de soi, ces choses se sont enfuies de sa main et elle n'aurait pas pu me les redonner même si elle l'avait voulu.  

Cette prise de conscience m'a bouleversée.  J'avais alors une décision à prendre - quoi faire avec cette connaissance?  Est-ce que j'allais retenir mon ressentiment, ou pardonner sa créance douteuse?  C'était une battaille qui a duré deux ou trois semaines - en effet, j'ai dû décider si j'allais lâcher le droit de repaiement - le droit à la justice - et de commencer à traiter cette personne d'une manière complètement différente du traitement qu'elle m'avait donné.  

Et une fois que j'ai pris la décision de la pardonner (sans que je lui dise que je l'ai fait car elle me dit toujours qu'elle ne m'a pas assez battue) - j'ai dû le refaire à maintes reprises - puisqu'elle n'a pas changé et elle continue toujours de me critiquer, de se plaindre de toute situation, de tout membre de sa famille, en tout temps, sans qu'elle le sache.  Et parfois je dois le faire de nouveau lorsqu'elle me (eum) donne son opinion sans que je la lui demande -!  

Une chose que j'ai toutefois notée c'est ou qu'elle ne le fait pas autant qu'avant, ou que je ne m'en fais pas autant qu'avant, je ne sais pas lequel. Et une autre chose c'est qu'elle commence à s'admettre que les blessures émotionelles subies pendant l'enfance ou la jeunesse demeurent au coeur d'une personne pendant longtemps.  Avant, elle me disait, "ça n'arrive plus?  bien, pourquoi t'en fais-tu?" Mais une fois, il y a plus d'un an et après que je l'avais pardonnée, j'ai entendu ces mots de sa bouche - "Mon beau-père me terrorisait lorsque j'étais petite. J'avais tellement peur de lui.  Et j'ai toujours peur de toute chose jusqu'à ce jour.  Je suppose que quand on vit des choses lorsqu'on est jeune, ces choses restent avec la personne."  

À ce moment-là j'ai su que je l'avais pardonnée - parce que je lui ai fait pitié.  Je me suis sentie de la compassion envers elle.  Pour la première fois.

Je ne suis plus dans le déni et je ne vois plus la vie en rose - mais je ne suis pas non plus dans les chaînes du passé.  C'est un bon commencement.

jeudi 15 décembre 2011

Après les classes

Cette année, juste après l'Action de grâce, j'ai commencé à assister à des classes de rattrappage sémi-intensives de français.  J'allais aux classes deux fois par semaine, deux heures et demi chacune, et puis pendant une pleine semaine, sept heures par jour (pour 35 heures) il y a deux semaines.  J'ai appris beaucoup surtout au niveau de la grammaire française, et certaines choses dans le domaine du vocabulaire.  

Source (par Google Images):
http://www.accutone.com/ergonomics.html
En tout cas, même si j'ai tant appris, cela ne me donne aucune garantie de réussir au teste de compréhension, dont mes résultats sont expirés (et aussi pou l'intéraction orale).  Je dois atteindre au moins le niveau "C" qui veut dire une note de 85 p. 100 ou plus au test de compréhension, qui (je pense) aura lieu le 20 janvier ou avant... et le test de l'interaction orale aura lieu le 20 janvier-même.  

Entretemps, j'espère avoir des sessions supplémentaires avec mon prof entre le 3 et le 20 janvier, et je consulte un certain site-web gouvernemental presque quotidiennement pour que je puisse élargir mon vocabulaire et avoir plus de pratique en lisant des textes complexes aux fins de compréhension.  Et je lis souvent des journaux en direct comme Le Devoir et L'actualité.  En réalité, je n'aime pas lire les journaux ou écouter les nouvelles même en anglais - car les nouvelles me rendent déprimée... trop de mauvaises nouvelles pour moi.  Donc, c'est difficile pour moi - une espèce de sacrifice pour mon but - de lire tous les articles concernant le monde politique au Canada et partout au monde.  Je viens de lire un article décrivant des meurtes multiples et un suicide au sud de l'Alberta - une telle tragédie qui frappe les canadiens et canadiennes.  J'en suis attristée.  Tout le monde en est.  

Eum, où suis-je rendue ?  Ah oui.... le test.  Si je réussis, j'aurai l'occasion de qualifier pour des affectations 'par intérim'.  Et c'est la seule raison pour laquelle j'en ai fait une demande pour l'approbation de ma gestionnaire, risquant de perdre mon "C" - si je ne réussis pas ! 

Et cette question est seulement l'une d'une dixaine qui se déroule dans ma tête et ce, seulement à propos de mon poste, qui est en état de 'flux' maintenant.  Par exemple, il y a une semaine, on m'a demandé d'agir en tant que mentor pour deux nouvelles employées de notre unité (et si je fais bien, on me demandera de faire la même chose avec peut-être quatre autres en janvier.)  D'être là lorsqu'elles auraient des questions - et de vérifier la qualité de leur travail.  Et j'ai accepté !  Alors je gagne de l'expérience valable mais . . . en même temps il y a toute l'incertitude concernant beaucoup d'autres choses, et non la moindre s'agit des coupures de postes et de budget au gouvernement, la salaire qui résultera de notre réclassification  -  et ainsi de suite. 

Ces choses-ci font que le stress augmente dans ma vie.  Qui n'en a rien?  Mais recemment j'en avais beaucoup et cela élargit de jour au jour.  Des stress financiers, des choses personnelles, entre autre.  

Pour le moment je me penche sur ce que j'ai à faire, et maintenant cela veut dire que je prendrai soins de mes charges, que je ferai mon travail assigné, et que je pratiquerai mon français.  Et c'est ça, c'est tout - un jour à la fois.

mardi 6 décembre 2011

Pensons à Noël

Est-ce qu'on est encore pret ?

Vraiment ?  Et à quoi sert tout le magasinage, tout le stress, tout le dette, toutes les mauvaises mémoires associées au 25 décembre ?

C'est ça justement.  Je me demande parfois, si Saint-Nicolas pouvait voir ce que l'on a fait de son idée de donner à ceux et celles qui n'avaient aucune manière de le lui repayer, s'il pouvait voir nos magasins remplis de personnes stressées  - et parfois motivées d'un sens de coupabilité, pour dire la vérité - durant cette saison de l'année . . . que ferait-il sauf que mourir de nouveau - de la honte ?  

Image par Google au site web :
http://www.greatoccasions.com/kneeling-
santa-figure-with-drawer-103428.cfm
Noël ne s'agit pas d'anges ou d'étoiles ou de cadeaux ou de guirlandes.  Il s'agit du Donneur de vie qui a donné Sa vie - pour nous.  Pas pour être fameux ou d'attirer tous les chants des anges ni des humains.  

C'était uniquement pour la possibilité d'une relation personnelle et intime avec chacun de nous, dans nos esprits où ça compte!   Même si  - - -  même si nous Lui renonçons.  Même si nous ne L'acceptons jamais jamais.  Il nous aime autant que ça, mes ami(e)s.  

Et pourquoi pas penser différemment à Noël dès aujourd'hui??  Pourquoi pas donner aux personnes qui n'ont aucune possibilité de nous redonner quelque chose ?  Une idée conçue il n'y a pas longtemps s'agit de donner un cadeau à une personne sans abri, au nom de quelqu'un dont le nom paraît sur sa liste d'emplettes de Noël.  C'est-à-dire, Marie veut donner quelque chose à Paul, son ami.  En son nom, elle donne une carte d'achat d'épicerie à Jeanne, qui (n'ayant ni mari ni chum) prend soins de ses trois enfants et n'a guerre l'argent pour payer le loyer.  Ou elle va à la soupe populaire et fait de la bénévole pour aider à servir des repas de Noël aux gens de la rue.  Chose facile de créer un certificat à l'ordinateur pour le donner à Paul le jour de Noël . . . 

Juste pour faire y penser. . . .

dimanche 4 décembre 2011

Le chuchoteur aux coeurs

J'aime beaucoup une émission de la chaîne "National Geographic" qui s'appelle "The Dog Whisperer" (Le Chuchoteur aux Chiens).  César Millan comprend le langage et la mentalité des chiens autant qu'il peut dresser tout problème qui traite aux chiens et à leur comportement dans le monde de leurs humains et entre les uns les autres. "Je fais la réadaptation des chiens, je fais l'entraînement des humains," dit-il.  

Source:   http://www.westernhorsereview.com/blogs/
my-stable-life/dog-whisperer-meets-parelli/
Il n'est pas le premier individu de faire ceci avec des animaux.  Son titre est basé sur et emprunté du "Chucoteur aux Chevaux" (celui qui est célèbre pour un méthode gentil d'équithérapie), M. Pat Parelli.  Avec ce dernier, c'est le même principe - M. Parelli "parle" le langage des chevaux pour les faire comprendre comment bien se comporter.  Et là ce serait inévitable que les deux se rencontrent un jour, ce qu'ils ont fait en 2009 pour une émission de "The Dog Whisperer" où une femme - qui travaillait à un centre d'équitation pour des personnes ayant des besoins spéciaux - avait un problème avec deux de ses chiens et un de ses chevaux.  Et le résultat? l'une de mes émissions préférées de ce séries.  C'était absolument miraculeux, ce qu'ont fait ces deux hommes (qui ne se connaissaient pas auparavant) pour leurs charges dans l'espace de trois heures.  

Mais à part de ces deux hommes qui sont tellement talenteux, il y a une autre spécialiste dont je veux parler... le Chucoteur aux coeurs. . . notre Créateur.  

Il sait comment nous parler au fond de nos coeurs et transformer nos vies de l'intérieur à l'extérieur.  

Partout et à tout moment de nos vies, surtout lorsque nous grandissions, il y avait du monde qui criait après nous, qui nous rendait honteux, fâché, écoeuré, entre autre.  Mais Lui qui nous a créés ... sait que nous avons besoin de seulement trois choses: l'amour, l'acceuil, et le respect, et Il nous les donnes sans mesure.  Lorsque nous ouvrons nos coeurs à Lui, Il nous combles de ces choses et c'est par celles-là qu'Il nous apprends L'aimer, L'accepter, et Le respecter avant de toute autre chose.  C'est la source, la base de nos vies spirituelles.  C'est ce qui est essentiel - la relation intime avec Lui.

Après cela, nous pouvons mieux apprendre nous aimer, nous accepter, et nous respecter - et ensuite aimer, accepter et respecter les autres.

Toute autre voix insiste que ça fonctionne à l'invers, que nous devons "faire" quelque chose au-delà de l'acceptation de l'évangel ... avant de pouvoir vivre la vie chrétienne.  Mais j'ai essayé d'aimer, d'accepter et et respecter les autres sans vraiment croire en Son amour pour moi, même si je L'avais accepté au coeur.  Ça ne marche absolument pas.  Alors afin de vivre en réalité (et non seulement d'exister) il faut définitivement en tout temps écouter Sa voix d'amour, d'acceuil, et de respect.  Écouter avec nos coeurs, je veux dire.

Attentivement.

Puisqu'Il chuchote.