- Psaume 42:1
Lorsque j'entendais ce verset, j'avais l'image mental d'un cerf paisible, buvant d'un lac complètement tranquille - au couchée de soleil.
Mais en réalité, l'image est loin d'être paisible. Un cerf ne soupire d'habitude que lorsque il est poursuivi par des chasseurs (la plupart du temps avec des chiens) - sa vie est en danger. Il court aussi rapidement qu'il le puisse, allant dans la direction de l'eau - jusqu'au point d'être épuisé, parce qu'il sait que seul l'eau peut effacer son odeur de ses attaqueurs et sauver sa vie. Malgré sa soif. Une fois qu'il est profondément dans l'eau et en sécurité, et seulement à ce point, il se permet de boire.
L'auteur de cette psaume avait cet image mental lorsqu'il a écrit ce verset. Il dit au verset 2, "J'ai soif de Dieu, de Dieu vivant! Quand pourrai-je venir et me présenter devant Dieu??" Il savait que seul en Dieu pourrait-il avoir une vie en réalité - cela s'agit d'une despération, d'un désir intense, d'une assurance que Dieu était sa seule souce de sécurité.
Je me demande - dans cette société d'affluence et de gratification instantanée - si nous puissions saisir le concept que notre seul espoir de vivre une vie abondante se trouve dans la connaissance (et la conscience) de la présence de Dieu ?
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